13 octobre 2006

Quelques Cistes pluvieuses... en Périgord

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Remarquez, ce gaulois est en proie à une terreur bien connu des peuples de gaule qui lui fait redouter comme le plus grand des fléau le moment où le ciel lui tombera sur la tête.
Généralement, après plusieurs cervoises tièdes la terreur s'éloigne et le gaulois se met à chanter des chansons paillardes.
NB: le gaulois moderne ne commande plus de cervoise tiède mais une mixture appelée "jaunet" bue quelquefois sec, il chante alors du "johnny halliday" en référence à une certaine Gabrièle qui serait venue le chercher à la porte de son pénitencier pour l'emmener se faire poser des prothèses de hanche.

Anonyme a dit…

L'orage est partout
Dans un ciel de boue
Mais l'amour se rit de tout
Elle a dit ce soir
Pour la recevoir
Chez moi tout chante l'espoir...

Il pleut sur la route...
Le coeur en déroute
Dans la nuit j'écoute
Le bruit de tes pas...

Mais rien ne résonne
Et mon corps frissonne
L'espoir s'envole déjà
Ne viendrais-tu pas ?

Dehors... le vent, la pluie...
Pourtant, si tu m'aimes
Tu viendras quand même
Cette nuit

Il pleut sur la route
Dans la nuit j'écoute
A chaque bruit mon coeur bat