1 . Aux environs des belles années mille neuf cent dix Lorsque le monde découvrait l'automobile Une pauvre femme abandonnée avec ses fils Par son mari qui s'était enfui à la ville Dans une superbe Panhard et Levassor Qu'il conduisait en plein essor Lui écrivait ces mots d'espoir En pensant que peut-être un soir I1 reviendrait tout comme avant Au lieu de partir dans le vent
{Refrain:} Je t'attendrai à la porte du garage Tu paraîtras dans ta superbe auto Il fera nuit mais avec l'éclairage On pourra voir jusqu'au flanc du coteau Nous partirons sur la route de Narbonne Toute la nuit le moteur vrombira Et nous verrons les tours de Carcassonne Se profiler à l'horizon de Barbeira Le lendemain toutes ces randonnées Nous conduiront peut-être à Montauban Et pour finir cette belle journée, Nous irons nous asseoir sur un banc
2 . L'époux volage hélas ne revint pas si tôt Escamoté par son nuage de poussière Courant partout : Nice-Paris, Paris-Bordeaux Sans se soucier de sa famille dans l'ornière Il courut ainsi pendant plus de quarante ans Et puis un jour, tout repentant Il revint voir sa belle d'antan Qui avait appris à ses enfants Ce refrain que les larmes aux yeux Ils répétaient aux deux bons vieux
Ah quel bonheur à la porte du garage Quand tu parus dans ta superbe auto Il faisait nuit mais avec l'éclairage On pouvait voir jusqu'au flanc du coteau. Demain, demain sur la route de Narbonne Tout comme jadis heureux tu conduiras Et nous verrons les tours de Carcassonne Se profiler à l'horizon de Barbeira Pour terminer ce voyage de poète Et pour fêter ce retour du passé Nous te suivrons tous deux à bicyclette En freinant bien pour ne pas te dépasser En freinant bien pour ne pas te dépasser.
3 commentaires:
OH ! Chrisgad ! Qu'est ce qui t'arrive, tu joues les Andy warrol maintenant ?
C'est d'un goût !
Aller Charles pousse la chansonnette !
1 . Aux environs des belles années mille neuf cent dix
Lorsque le monde découvrait l'automobile
Une pauvre femme abandonnée avec ses fils
Par son mari qui s'était enfui à la ville
Dans une superbe Panhard et Levassor
Qu'il conduisait en plein essor
Lui écrivait ces mots d'espoir
En pensant que peut-être un soir
I1 reviendrait tout comme avant
Au lieu de partir dans le vent
{Refrain:}
Je t'attendrai à la porte du garage
Tu paraîtras dans ta superbe auto
Il fera nuit mais avec l'éclairage
On pourra voir jusqu'au flanc du coteau
Nous partirons sur la route de Narbonne
Toute la nuit le moteur vrombira
Et nous verrons les tours de Carcassonne
Se profiler à l'horizon de Barbeira
Le lendemain toutes ces randonnées
Nous conduiront peut-être à Montauban
Et pour finir cette belle journée,
Nous irons nous asseoir sur un banc
2 . L'époux volage hélas ne revint pas si tôt
Escamoté par son nuage de poussière
Courant partout : Nice-Paris, Paris-Bordeaux
Sans se soucier de sa famille dans l'ornière
Il courut ainsi pendant plus de quarante ans
Et puis un jour, tout repentant
Il revint voir sa belle d'antan
Qui avait appris à ses enfants
Ce refrain que les larmes aux yeux
Ils répétaient aux deux bons vieux
Ah quel bonheur à la porte du garage
Quand tu parus dans ta superbe auto
Il faisait nuit mais avec l'éclairage
On pouvait voir jusqu'au flanc du coteau.
Demain, demain sur la route de Narbonne
Tout comme jadis heureux tu conduiras
Et nous verrons les tours de Carcassonne
Se profiler à l'horizon de Barbeira
Pour terminer ce voyage de poète
Et pour fêter ce retour du passé
Nous te suivrons tous deux à bicyclette
En freinant bien pour ne pas te dépasser
En freinant bien pour ne pas te dépasser.
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